Vincent MONTI vit et travaille à Paris.

Il pratique la photographie argentique depuis 2015 et la photographie numérique depuis 2017. Cette même année, il découvre le Drag, et sa pratique artistique s’oriente progressivement vers l’autoportrait, la 3D et l’animation. Naît alors Vanad, un avatar tirant son nom d’un élément chimique lui même nommé d’après une déesse.








En s’inspirant du pouvoir transformatif du Drag, Vanad développe une pratique multimédia où se mêlent photographie, collage numérique, sculpture digitale et animation.


Son travail tente de matérialiser l’expérience sensible des corps queers, explorant des thèmes comme


la construction de l’identité, 
la parure,
la dysmorphie corporelle, 
la sensualité, l’autoérotisme, 
le naturisme et le cruising.


   




Les sujets présentés sont des systèmes 
hybrides et donc queers :


    humain.e à l’exosquelette métallique,
    autoportraits digitaux sculptés,
    collages de matériaux inertes,
    ensembles de tissus organiques, 
    ou encore
    objets réels digitalement transformés.

 




















Ces thèmes et problématiques sont regroupés sous l’ombrelle Ecoqueer, en référence au courant Ecoféministe, qui théorise le fait qu’il existe un parallèle entre 


les mécanismes d’oppressionspatriarcaux



et les mécanismes de surexploitation de la nature

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